Clinique transculturelle et ethnopsychiatrie

La traumatisme de le guerre et du Djihad chez les enfants


46 rue Amelot 75011 PARIS

Formation non DPC

du 09/12/2024 au 11/12/2024

3 jours

1 130,00 €

1070 1 2024 INTER

PUBLIC CONCERNÉ
  • Médecins, infirmiers, psychologues, pédopsychiatres, éducateurs de jeunes enfants, enseignants, puéricultrices, aides-soignants...

PRÉ-REQUIS
  • Pas de pré-requis.

INTERVENANTS
  • Deux psychologues cliniciens ayant l'expérience du terrain.

OBJECTIFS OPÉRATIONNELS
  • Construire un cadre pratique à partir des apports théoriques sur le phénomène de la radicalité des parents et l'exposition des enfants.
  • Comprendre le contexte et la situation d'où viennent ces enfants et les conditions de leur retour en France.
  • Apprendre les processus à l'œuvre dans la radicalité et la radicalisation.
  • Repérer la symptomatologie spécifique que présentent ces enfants.
  • Apprendre à investir les images parentales en l'absence de l'un ou des deux parents des enfants pris en charge.
  • Accompagnement des adultes ayant la charge des enfants.
  • Apprendre à prévenir les pièges de la case vide ou la parentification des grands-parents.

CONTENU
  1. Apports théoriques et cliniques sur la radicalité.
  2. Les processus propres aux garçons, aux jeunes filles et aux femmes dans l'engagement djihadiste.
  3. Départ, accueil, insertion, réalité du terrain, désillusions.
  4. Les familles sous les drapeaux de Daech sur place et de retour en France.
  5. Aspects cliniques et psychopathologiques : accueil, examens et évaluation de l'état de santé des enfants.
  6. Description du dispositif de prise en charge : accompagnement des parents, des familles d'accueil et des équipes.
  7. Analyse des pratiques professionnelles.

VALEUR AJOUTÉE
  • Cette formation tient compte des recommandations de la HAS et/ou de l'Anesm qui seront téléchargeables par les participants sur le site internet de l'Afar avec les supports pédagogiques.

LES FORMATIONS QUI POURRAIENT VOUS INTERESSER
Voir tous les formations en « Clinique transculturelle et ethnopsychiatrie »